Comme crucifié sur les hauteurs ancestrales
D'un puissant minaret qui se flambe d'ors purs
Quelque part modulé aux terres de la racine noire
Un gémissement long enfiévré et douloureux
Qui fracasse lentement le silence déraciné
D'une voix belle, mystérieuse et sans visage
Hurle d'un chant sacré l'heure de la prière
Dans cette invite formelle et impérieuse
Du moment rare de la précieuse éternité.
Antonia de Réus de la Torre
@@ Ecrit à une époque où le crime religieux des islamo-fachistes racistes prodaesh ne s'était pas encore institutionnalisé à travers notre monde civilisé @@
Derniers Commentaires