Parmi le désordre des claires mousselines
Froissées d'étreintes d'une lascive torpeur
Des corps sinueux s'entremêlent de bronzes
Qui se surprennent par ces envies délicates
Et s'abandonnent en langueurs paresseuses
A leurs amours d'une beauté prenante
Dans la douceur tendrement émouvante
D'une très subtile caresse de femmes.
Antonia de Réus de la Torre
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